[Redux]
Pour sa dixième édition – et la première dans ce nouveau contexte – le festival s’intitule «redux» (du terme latin qui signifie la restauration à l’identique, mais aussi le retour, ce qui revient). De nombreuses œuvres y interrogent le fait de revivre (un moment), de refaire (une action), de recommencement, de renouveau : des idées qui semblent en opposition avec ce qu’on croit savoir de l’art de la performance. On verra le contraire à travers les vingt-deux performances proposées, avec des artistes venus de loin (le body artist californien Ron Athey ou l’artiste féministe afghane Kubra Khademi), mais aussi des performeurs belges emblématiques, comme Gwendoline Robin ou Claude Cattelain. Plusieurs propositions seront musicales, voire festives. TROUBLE voyagera aussi sur les ondes de Radio Panik, passera par les audaces des jeunes artistes de la Cambre, ou prendra le temps de moments de réflexion, philosophique et critique. Le festival s’inscrira fortement dans son quartier, en particulier dans ses environs immédiats, du préau d’une école à la crypte d’une église, d’une mystérieuse impasse à la place de Saint-Josse voisine… Avec plusieurs propositions pour un nombre de spectateurs limité, les premiers arrivés seront les mieux servis. Un parcours aux multiples trajets possibles, imaginé par le curateur Antoine Pickels, à vivre pour un soir, une journée, un week-end, ou pour une immersion de quatre jours.
Partenaires
En partenariat avec: BOZAR Performing Arts, ENSAV-La Cambre, Infini Théâtre, Master en arts du spectacle vivant de l’ULB, Radio Panik, Ten Noey, Unité pastorale Les Coteaux, Lycée Guy Cudell. Avec l’aide de: Fédération Wallonie-Bruxelles/Promotion de Bruxelles, Service public francophone bruxellois, Wallonie-Bruxelles International, Commune de Saint-Josse, visit.brussels.